13 août 2012


Il m'est arrivé quelque chose d'étrange aujourd'hui.
Mon maître est venu déjeuner avec moi puis a eu très envie d'un câlin. Nous nous allongeons l'un à côté de l'autre et dans un mode absolument "vanille", nous nous embrassons tendrement. Les mains de Jeff me parcourent et atterrissent dans mon soutien-gorge (ce qui est une constante, Monsieur est dingue des seins). Il les pinçouille, les tiraille, et je réagis violemment: une vague de plaisir m’inonde (que du sens littéral en l'occurrence).
Je lui demande cependant de faire attention à ma robe dont il tire le col sous la poitrine pour l'atteindre à sa guise. Il m’enjoint de l'ôter. Je me déshabille en lui tournant le dos, à mon retour, son torse est nu, et il me plaque gentiment vers son propre téton, pour que je le lèche -ça aussi il aime beaucoup. Même que je sais que c'est le téton gauche qui est le plus sensible grâce à son... blog!
Alors, il lâche: je te laisse 10 minutes de répis, Ma. Il me serre contre lui et continue: après je m'occupe de toi, j'ai envie de te faire mal.
- Je croyais que vous vouliez juste faire un câlin?
- Eh bien il y a des câlins doux, des câlins fermes et des câlins durs...
... Et puis on va commencer tout de suite... allez, debout! (j'ai un maître qui tient rarement sa parole quand cela l'arrange ;-))
Il m'a passé les chaînes, il m'a torturé les seins, il m'a cravaché les fesses, le sexe -très doucement-, il m'a caressé la chatte, il m'a donné un plaisir, une force, puis a éjaculé sur moi.
Une séance, quoi, rapide car nous n’avions pas un temps infini, que je ne veux pas décrire ici, ce n'est pas le propos.
Alors, il m'a embrassée, et il m'a dit qu'il s'en allait. J'étais couverte de sperme, les bras enchainés et reliés à mon anneau de cou...
Il m'a un peu détachée, même si j'aurais pu le faire moi-même. J'ai filé sous la douche. Il s'est éclipsé...
Alors, il m'est arrivé quelque chose de bizarre. J'aurais du me sentir emplie, sereine (comme d'habitude), j'aurais du continuer à ressentir ce que sur le moment j'avais vécu. Du plaisir, du calme, de la volupté, ou une immense fatigue...
J'ai ressenti un vide. Énorme, un gouffre, une presque peine... que j'ai eu un mal fou à gérer.
L'émotion fut trop forte, trop intense, trop courte dans le temps? Cela vous est-il déjà arrivé? Vous me racontez votre pétard mouillé? Car j'ai l'impression d'avoir fait un bad trip sur une courte taffe, là...

L'indécrottable romantique que je suis, met une chanson de Jim Croce qu'on a entendu dans Very Bad Trip (la chanson de Chow) ... et Maître, je vous mets la version avec les paroles, comme cela j'ai une chance que vous compreniez? Ouïe, non, pas sur les tétons, j'ai mal, là, maintenant...

2 commentaires:

  1. "IL" m'a dit hier ..."J'ai à peine le dos tourné que tu es déjà en manque !" C'est surement ça aussi ...Un gouffre, une énorme boule et ses joues qu'on aspire pour ne pas pleurer ...Un jour avant de partir, il m'a laissé une petite boite dans laquelle il y avait un bonbon ...Je l'ai sucé ..Ça m'a fait un bien fou, comme un baume apaisant ...

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  2. @Chilina: ah... ma passagère, je ne sais pas si un bonbon, fut-il composé de priape, me satisferait... Je dois être trop excessive. Lol.

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