Il y a parfois des élans contraires, deux désirs antinomiques, et un carrefour qui se refuse.
Ah, petite soumise, toi qui recherches l'abandon, que faire quand ton Maître a le cœur doux et tendre, pour une soirée où tu n'attendais que fermeté et sévérité. Tu auras, petite péronnelle, de la simple provocation à l'ordre délibérément formulé, désobéi à toutes les règles et ne recevant que caresses et tendresse, tu finiras par pleurer...
Il y a des moments où l'humain prend le pas, au-delà des devoirs de chacun, et il faudrait être un automate pour ne pas y succomber.
Il en résulte alors deux frustrations, une séparation de fait, une incompatibilité temporaire des corps, et finalement...
un flottement.
Pleurer parce qu'on ne reçoit que de la tendresse ? Comme c'est étrange...
RépondreSupprimerLa survivante, quel joli souvenir, j'avais oublié...
RépondreSupprimerAllons petite soumise, Paris ne s'est pas fait en un jour, et les maîtres ne sont pas QUE "machine" à punir...
Et qui sait, la prochaine fois c'est peut être toi qui demandera grâce...
@M. Chapeau: oui, c'est le comble de la maso...
RépondreSupprimer@Jeff: cette BD m'avait scotchée quand j'étais ado... Et c'est bien une machine qui comble la Survivante. même qu'il s'appelle Ulysse!!! On ne m'a jamais poussée dans mes retranchements... Trop de gentillesse... ???
Ah j'entends M. chapeau s'indigner :-)
S'indigner ? Non, pas du tout ! Je suis intrigué et étonné par la complexité dont peut faire preuve l'esprit humain, mais absolument pas indigné.
SupprimerSi quelque chose m'indigne, c'est l’asymétrie du postérieur de la survivante. Elle n'a pas de fesse gauche !? :)
@M. Chapeau: malheureusement, Paul Gillon est mort l'année dernière et ne peut plus répondre...
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